Les Quatre de Visegrad ne forment pas un bloc

Martin MICHELOT Directeur adjoint du think tank Europeum (Prague) [vc_btn title= »Télécharger l’article » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » css_animation= »bounceInRight » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2018%2F07%2FRevue-122-P7.pdf||target:%20_blank| »] Très souvent stigmatisés à Bruxelles ou dans les médias des différents États membres, les pays de Visegrad ont le sentiment, 15 ans après leur entrée dans l’Union européenne, d’être mal ou peu compris. Les discussions autour du futur budget de l’Union leur permettront-elles de réaffirmer leur attachement à l’Europe ? Les pays de Visegrad (Hongrie, Pologne, République tchèque, Slovaquie) continuent à payer, dans l’opinion publique occidentale, un lourd tribut dû à leur opposition frontale au plan de relocalisation obligatoire des réfugiés à l’été 2015 institué par la Commission européenne. Ce défaut de solidarité doit, dans la perspective des discussions sur l’avenir de l’Union, être nuancé afin de ne pas tomber dans les écueils consistant à penser le V4 comme un groupe uni dans ses perspectives européennes. Aujourd’hui, il s’avère que l’unité

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