Les institutions financières publiques ne doivent pas être les albatros de la relance

Laurent Zylberberg1 Directeur des relations institutionnelles, internationales et européennes à la Caisse des Dépôts et Consignations [vc_btn title= »Télécharger l’article » color= »primary » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2020%2F09%2FConfrontations-Revue-129-Impression_18-19-Zilberberg.pdf||target:%20_blank| »] La première réponse à la crise économique a été massive et efficace mais les prêts consentis ne suffiront pas à relancer l’économie réelle. La nécessité d’investir en capital est primordiale. Or, le plan de relance de juillet a, comme l’analyse Laurent Zylberberg, dépecé des projets communautaires emblématiques et réduit à la portion congrue l’outil InvestEU, qui permet pourtant d’impliquer au mieux les acteurs publics. La crise économique actuelle met en évidence un paradoxe, une contradiction et un impératif. Le paradoxe, c’est que la crise que nous connaissons résulte d’une mise à l’arrêt de l’économie, décidée par les pouvoirs publics pour protéger les populations. La contradiction, c’est le recours massif aux moyens budgétaires alors même qu’ils sont déjà fortement contraints tandis que les capacités d’investissement des institutions financières publiques et

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