Kalypso NICOLAIDIS et George PAGOULATOS Professeur à l’Université d’Oxford et Professeur à l’Université d’économie d’Athènes [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F07%2FRevue-110-nicolaidis-p12.pdf||target:%20_blank »] La Grèce a signé en août un troisième mémorandum avec ses partenaires européens. Ce nouveau plan, peut-être le meilleur possible dans le contexte politique actuel, est-il à la hauteur des défis économiques et sociaux de la Grèce ? Premier constat : l’ampleur de l’ajustement fiscal exigé. Le plan prévoit une trajectoire d’ajustement progressive dont le but est de dégager un excédent budgétaire primaire de 3,5 % en 2018 et les années suivantes, avec des cibles intermédiaires de – 0,25 % en 2015, 0,5 % en 2016 et 1,75 % et 2017. Cet objectif reflète les pressions politiques subies – ou vécues comme telles – par les pays donateurs, qui ne peuvent demander à leurs contribuables de consentir un sacrifice sans en attendre un en retour
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