Anne MACEY Déléguée générale de Confrontations Europe Face aux mutations numérique, écologique dans un monde en transformation accélérée, former la jeunesse aux besoins des entreprises et de notre société européenne est sans doute le défi le plus important en Europe. L’Union européenne, aux côtés des Etats, est active en la matière. La première action européenne qui vient à l’esprit est bien sûr Erasmus. Créé en 1987, 5 millions de personnes ont bénéficié d’une mobilité. Ce sont avant tout des étudiants de l’enseignement supérieur, et l’accent doit être placé aussi sur d’autres publics : les apprentis (650 000 en bénéficient dans le cadre du dernier programme 2013-2017), volontaires (à travers le Service Volontaire Européen qui ne nécessite pas forcément de diplôme, enseignants… L’Europe ne sera forte que si les citoyens, et en premier lieu les jeunes, se rencontrent et apprennent à se connaître et coopérer dès leur plus jeune âge. Il faudrait tripler le budget
Ce contenu est réservé aux abonné(e)s. Vous souhaitez vous abonner ? Merci de cliquer sur le lien ci-après -> S'abonner