En Italie, la relance du dialogue social

Mimmo CARRIERI Professeur de sociologie et d’économie à l’Université « Sapienza » de Rome, et membre du Conseil scientifique de la Fondation Astrid [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F10%2FP-25-Part-soc_115.pdf||target:%20_blank »] Au cours des derniers mois, l’opportunité de relancer le dialogue social au sein de l’Union Européenne a resurgi. Des interrogations demeurent sur le type de réforme à apporter aux relations industrielles et à la négociation collective. L’exemple italien offre un bon exemple de l’objectif de relance du dialogue social dans le contexte national et à l’échelon européen. La réforme des relations industrielles, notamment sur les questions de représentation des travailleurs, de validité des contrats et de participation, fait l’objet de débats depuis longtemps. Il est de plus en plus question des différentes possibilités d’intervention des autorités publiques et législatives. L’introduction d’une forme de salaire minimum est même évoquée. Pourquoi un tel débat ? On constate des anomies(1) et

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