Marie-France BAUD Coordinatrice du bureau de Bruxelles, Confrontations Europe [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F10%2FP-19-Finances_115.pdf||target:%20_blank »] Jean-Claude Juncker veut accélérer la mise en œuvre de l’Union des marchés de capitaux, une initiative phare de la Commission européenne. La sortie prochaine du Royaume-Uni, qui privera l’UE de la première place financière du vieux Continent, constitue-t-elle un obstacle ou, au contraire, une opportunité ? Le résultat du référendum sur le Brexit a ouvert une période d’incertitude préjudiciable à l’Union, et qui durera tant que le Premier ministre, Theresa May, n’aura pas activé le désormais célèbre article 50 du Traité sur l’Union européenne. Il a déjà eu des impacts boursiers importants et a particulièrement touché les fonds de gestion britanniques qui affichent des décollectes impressionnantes, victimes du « Brexit blues ». Les enjeux liés au secteur financier sont en effet considérables pour le Royaume-Uni comme pour l’UE. L’une des questions-clés
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