Doit-on fixer un nouvel objectif contraignant aux énergies renouvelables ?

Michel CRUCIANI Chargé de mission au centre de géopolitique de l’énergie et des matières premières de l’université Paris-Dauphine. [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F07%2FRevue-109-cruciani-p18.pdf||target:%20_blank »] Selon Michel Cruciani, cette contrainte qui a été imposée aux énergies renouvelables a eu des effets négatifs pour les consommateurs et pour les États. Pourquoi vouloir précipiter un phénomène qui, selon lui, est inéluctable ? Dans de nombreuses régions du monde connaissant une croissance économique soutenue, les énergies renouvelables s’insèrent désormais dans le mix local de production d’électricité, le coût des composants ayant baissé, fortement pour les panneaux photovoltaïques et de manière significative pour les fermes éoliennes. On enregistre également des baisses sensibles pour le biogaz, la géothermie, ou l’hydroélectricité, mais ces dernières dépendent des conditions locales, très variables, et les ressources disponibles restent plus limitées que le vent et le soleil, ce qui restreint leurs débouchés. Un surcoût des mécanismes incitatifs

Ce contenu est réservé aux abonné(e)s. Vous souhaitez vous abonner ? Merci de cliquer sur le lien ci-après -> S'abonner

Connexion pour les utilisateurs enregistrés
   

Derniers articles

Articles liés