Dette grecque : à chacun sa part

Carole ULMER Directrice des Etudes de Confrontations Europe [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fprod.confrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F03%2FInterface-confrontations-FR-99-P1.pdf|| »] Html code here! Replace this with any non empty text and that's it. Une extension de 4 mois du programme d’assistance financière pour la Grèce a été approuvée le 24 février. Petit répit, mais le plus dur reste à faire. Syrisa doit donner corps à son programme de réformes. Les Grecs l’ont élu pour le changement mais ils ont vidé leurs comptes en banque à hauteur de 2 Mrd d’€ ! Leur désarroi est profond. La solution serait-elle le Grexit ? V. Giscard d’Estaing l’estime nécessaire pour redresser l’économie grecque. Ce n’est pas ce que revendique Syrisa aujourd’hui, qui veut renégocier les termes de ses remboursements. Le Grexit ne pourrait être que brutal. Quelles en seraient les conséquences ? La Grèce ferait défaut et n’aurait plus accès aux marchés financiers. Très dépendante

Ce contenu est réservé aux abonné(e)s. Vous souhaitez vous abonner ? Merci de cliquer sur le lien ci-après -> S'abonner

Connexion pour les utilisateurs enregistrés
   

Derniers articles

Articles liés