Carole ULMER Directrice des études de Confrontations Europe [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F07%2FRevue-113-UEM-Ulmer-P19.pdf||target:%20_blank »] La politique monétaire ne suffit plus. Il faut aussi accroître la coordination des politiques économiques afin qu’un véritable front de convergences se mette en place dans tous les domaines : financier bien sûr, mais aussi économique, budgétaire, social et fiscal. Il est plus nécessaire que jamais de repenser la gouvernance économique de la zone euro. La croissance stagnante, l’accumulation de vulnérabilités au niveau international, la multiplication des doutes autour de l’efficacité de la politique monétaire accommodante de la BCE[1] et la persistance de divergences profondes entre États membres sont autant de raisons qui sous-tendent cet impératif. Ce n’est pas une lubie de quelques irréductibles fédéralistes ou de « Bruxelles », il en va de la croissance et des emplois pour nos pays. Les arguments de raison sont légion, il faut aussi – et surtout- redonner une
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