Roger LIDDLE Membre travailliste de la Chambre des Lords et coprésident du think tank Policy Network [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2017%2F10%2FConfrontations-Europe-n%C2%B0-119-PDF-BD-p06-07.pdf||target:%20_blank| »] Le Brexit représente une véritable menace existentielle pour le Parti conservateur britannique. Le message « Brexit means Brexit » est l’un des aphorismes les plus vides de sens jamais inventés par des politiques afin de couvrir l’absence de stratégie cohérente pour l’avenir du Royaume-Uni. Lors du référendum de juin 2016, l’électorat a dû choisir entre deux options en apparence simples : partir ou rester. Mais en réalité, la première offrait un vaste éventail de possibilités, plus ou moins attrayantes, voire acceptables par la majorité des Britanniques, contrairement à l’option du statu quo. Jusqu’à une date récente, les partisans du Brexit soulignaient la « clarté » du discours de Theresa May à Lancaster House de janvier. Émaillé de formules du type « la Grande-Bretagne cherche à établir un partenariat étroit et spécial
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