Michal Šimečka Député européen (Slovaquie), Vice-Président de Renew Europe [vc_btn title= »Télécharger l’article » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2017%2F07%2FDefisEtatdedroit-Confrontations.pdf||target:%20_blank| »][vc_btn title= »Download the English version » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2017%2F07%2FConfrontations-MichalSimeCka.pdf||target:%20_blank| »] A l’automne 2020, la Commission européenne a publié le premier rapport, appelé à devenir annuel, sur la situation de l’état de droit dans l’Union européenne, une demande que le Parlement européen attendait depuis des années. L’eurodéputé Michal Šimečka salue cette initiative mais il alerte sur les atteintes à la démocratie dans certains Etat membres et, étant lui-même rapporteur d’un texte sur l’état de droit, il revient sur les trois différences-clés entre l’approche de la Commission et celle du Parlement. Il est aujourd’hui prouvé que l’argent de l’Union européenne a favorisé l’ascension des régimes autoritaires dans des pays comme la Hongrie. Mais couper le robinet ne suffira pas à contenir le recul de la démocratie en Europe. Il est temps que l’Union Européenne
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