Angela Merkel, seule à la barre ?

Daniela SCHWARZER Directrice du programme européen du German Marshall Fund (GMF), à Berlin [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »blue » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2016%2F04%2FRevue-113-Angela-Merkel-Scwharzer-P12.pdf||target:%20_blank »] La Chancelière allemande, Angela Merkel, a semblé prendre des décisions sans coordination approfondie avec les autres capitales européennes, notamment dans sa gestion de la crise migratoire ou tout récemment la négociation de l’accord UE-Turquie. Mais il semble que le gouvernement n’a pas perdu de vue son objectif : renforcer l’UE. A la faveur de la crise de la dette souveraine du printemps 2010, l’Allemagne a acquis une place centrale dans les affaires européennes. Depuis ce jour, le rôle de Berlin n’a cessé de s’accroître. Mais, l’implication croissante de Berlin dans les affaires intérieures et extérieures de l’UE est allée de pair avec l’augmentation des critiques contre l’Allemagne, tant de la part d’autres États membres que de son propre pays. Certaines voix avaient déjà souligné la tendance de

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