Carole ULMER Directrice des études, Confrontations Europe [vc_btn title= »Télécharger l’article » style= »outline » color= »primary » align= »right » i_icon_fontawesome= »fa fa-file-pdf-o » add_icon= »true » link= »url:http%3A%2F%2Fconfrontations.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2017%2F06%2FConfrontations-Europe-n%25C2%25B0-118-PDF-BD-P22-23.pdf||target:%20_blank| »] De quelle politique industrielle l’Europe a-t-elle besoin aujourd’hui pour définir un camp de base européen dans la mondialisation ? Comment l’Europe peut-elle mieux promouvoir ses intérêts stratégiques et accompagner les transformations actuelles de son tissu industriel ? Ces questions reviennent aujourd’hui au sommet de l’agenda communautaire, dans le contexte de cette révolution baptisée « industrie 4.0 ». Un pas important. Le 29 mai dernier, le Conseil Compétitivité rassemblant les représentants des États membres a demandé à la Commission européenne d’élaborer une « nouvelle stratégie industrielle européenne » pour mi-2018. L’objectif est de redonner à la politique industrielle(1) une place plus grande dans les discussions sur le futur de l’Europe. Cette initiative serait sûrement saluée par Pierre Veltz. Dans son récent ouvrage(2), l’ancien PDG de l’établissement public Paris-Saclay rejette les discours pourtant nombreux sur
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