Vie de l’association

Anne MACEY

Déléguée générale de Confrontations Europe

Édouard SIMON à la tête du bureau de Bruxelles

Nous sommes fiers d’accueillir Édouard Simon pour diriger notre bureau de Bruxelles qui est depuis le 1er novembre composé de quatre personnes : Morgane Goret-Leguen, chargée de mission sur les questions d’Énergie et de Numérique et Marine Pouzoulet, chargée de mission finance et jeunes, ainsi qu’un stagiaire. Édouard Simon anime également les groupes mutations industrielles, emploi-formation, entreprise durable et numérique. Détenteur d’un doctorat sur les coopérations industrielles dans le domaine de la défense européenne réalisé chez nos partenaires de l’Essec et d’Airbus, Édouard était déjà membre du conseil d’administration de Confron­ta­tions Europe.

Merci Katarina !

Katarina Cirodde a passé plus de cinq années à Confron­tations Europe et y a joué un rôle-clef, en menant avec conviction et rigueur l’ensemble des travaux qui lui ont été confiés. Katarina a rejoint International SOS, une entreprise qui gère la sécurité des expatriés du monde entier. Elle y assiste les assurés en Allemagne. En charge des projets jeunes à Confrontations Europe, du secrétariat général et des questions de marché du travail et formation, Katarina s’est toujours investie avec passion et empathie pour le bonheur de l’équipe et des partenaires. Nous lui souhaitons de se réaliser pleinement dans sa nouvelle vie professionnelle.

Philippe HERZOG

Président fondateur de Confrontations Europe

Marie-France, une belle expertise

Marie-France Baud est entrée à Confron­tations Europe en 2004 et a exercé de­puis plusieurs fonctions de direction auprès de Claude Fischer et de moi-même : secrétaire générale adjointe, directrice de la revue, directrice du bureau de Bruxelles, animatrice du groupe « banques finance », implication dans les groupes « élargissement » et « civilisation ». Nous lui en sommes reconnaissants et sommes devenus des amis. Après le changement de la présidence de l’association, elle a poursuivi ses activités pendant trois ans.

Dans une vie antérieure elle a été journaliste, notamment à Jeune Afrique, et cadre dans la banque. Avec nous, elle a énormément travaillé et a su appréhender les sujets difficiles de la construction de l’Europe et le fonctionnement de ses institutions. Femme très ­cultivée, épouse d’un architecte serbe, Ognjen Babic, elle a enrichi l’association par un autre regard que le nôtre. L’inspiration des ­cultures d’Europe centrale des Balkans a été appréciable, elle nous a fait découvrir des livres majeurs comme La chronique de Travnik, et nous avons partagé avec de nombreux amis de Confrontations « Le tour d’Europe », mémorable que Claude avait organisé. Elle sait ce que veut dire le besoin de construire une identité européenne qui reposera sur la reconnaissance de ces diversités.

La crise financière aura été pour elle comme pour nous d’ailleurs une formidable occasion de nous mettre à jour sur les réalités du capitalisme actuel et de l’union monétaire en particulier. Auprès de moi, mais aussi de Bernard Marx et d’Olivier Lacoste, elle a acquis une capacité professionnelle pour la connaissance et la proposition en ce qui concerne tous les chantiers de régulation et de supervision financières, d’union bancaire et de politique de financement. Marie-France est une amoureuse de la finance pour ainsi dire, ce qui est précieux par les temps qui courent. Nous avons vécu de grands moments ensemble dans un contexte où j’ai pu moi-même conseiller efficacement le commissaire européen chargé de ces sujets, Michel Barnier, en m’appuyant sur l’équipe de Confrontations.

Marie-France a conçu le bureau de Bruxelles comme un hub où ont circulé des personnes diverses aux apports très différents qui ont nourri notre réflexion collective et qui ainsi ont eu la possibilité de contribuer avec nous à la mise au point d’une ligne originale et ­d’intérêt général, en particulier mais pas ­seulement dans le cadre de nos assises sur l’investissement de long terme. Très connue et appréciée des réseaux communautaires bruxellois, Marie-France, dans la continuité de ses deux prédécesseures, Isabelle Ollivier et Ursula Serafin, a bien contribué à asseoir la crédibilité de notre association.

Très indépendante d’esprit, elle dit son mot de façon très directe offrant ainsi au collectif une contribution critique utile et l’opportunité pour chacun de mieux aiguiser sa propre réflexion. Bonne retraite, chère Marie France, et surtout gardons le contact.

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